Les films féministes considérés comme des succès au box office de ces dernières années semblent, systématiquement dans le processus de leur construction politique, se heurter à un obstacle majeur.
Que reste-t-il du rêve américain, si ce n’est le fascisme, l’impuissance, la désillusion et la vanité ? The Sweet East, premier film de Sean Price Williams en tant que réalisateur, propose une catabase surréaliste jusqu’au fin fond de l’Amérique pour le découvrir.