Le 15 aout est sorti dans nos salles obscures le nouveau film de l’univers DC, Blue Beetle. Nouveau personnage, nouvel horizon, bienvenue dans un cadre urbain futuriste nous rappelant un Porto Rico sous influence Américaine.
Catégorie : Critiques
Le Ciel Rouge, pour prolonger (un peu) l’été
L’été, c’est fini, vous en voulez encore un peu ? Retour sur Le Ciel Rouge de l’allemand Christian Petzold, Ours d’Argent au 73e festival de Berlin.
Master Gardener : à l’ombre de la jeune fille en fleurs
Après First Reformed et The Card Counter, Paul Schrader était de retour cet été pour nous proposer un film plus symbolique en matière d’horticulture.
Lorsque la société a créé Yannick
C’est avec un cynisme assuré que Dupieux s’approprie le huis clos et présente au monde son œuvre, reflétant une certaine condition humaine de seconde classe.
Saint Laurent: Le rejet de l’académisme par Bertrand Bonello
Si dans le cinéma il existe un genre qui subit les stéréotypes (peut-être justifiés) de « film à Oscars » il s’agit inévitablement du biopic. Cependant lorsque certains cinéastes talentueux évite cet écueil qui consisterait à traiter de figures familières des systèmes académiques, et d’offrir à un acteur une occasion de performer pour ses propres intérêts dans… Poursuivre la lecture Saint Laurent: Le rejet de l’académisme par Bertrand Bonello
MR73, quel calibre pour ce thriller ?
Un thriller à la française, sombre et captivant à la fois, laissant une pointe d’amertume pour l’atmosphère vue et revue de flics grisés par les méandres du métier.
Et au milieu coule une rivière
Retour sur le superbe Et Au Milieu Coule Une Rivière de Robert Redford, une véritable ode à la vie et à la nature.
Greta Gerwig a t-elle sauvé Barbie ?
Barbie Land, un terrain de jeu pour inverser une situation bien connue dans le « vrai monde », le patriarcat.
Oppenheimer, le Prométhée Américain
Retour sur Oppenheimer, le nouveau film du réalisateur Christopher Nolan qui s’essaye ici à un nouveau genre : le biopic.
Que Chaplin nous apporte ses lumières !
Il est connu que le discours des films de Chaplin est sympathisant avec la cause prolétarienne, mais au delà du simple sous texte, comment cette lutte des classes s’infuse-t-elle esthétiquement dans son cinéma ?