Dans "PlayTime", Jacques Tati transforme Paris en une ville ultramoderne remplie de structures et d’espaces immenses, peuplée de matérialistes et de consommateurs, où il critique subtilement le consumérisme et la bureaucratie tout en montrant une profonde empathie pour les individus pris dans ce monde absurde.
J'essaye ici d'analyser une impression récurrente devant un type d’œuvres précises qui accentuent la réalité sociale pour la rendre plus observable et la critiquer.