Du silence et de la douleur : analyse subjective du silence chez Chantal Akerman
Quand j’ai vu Jeanne Dielman, la première chose qui m’a marquée c’était le silence. Dans une salle de cinéma, c'est toujours une expérience particulière.
Individuation, résistance, travail : si l’introduction de ce ciné-journal adoptait humblement la forme d’un manifeste esthétique (), fournissant quelques hypothèses propres à son auteur, nous nous efforcerons dans ce nouveau chapitre de « tirer les plans » (dixit Deleuze en…